Une affaire d'extinction des puits de
pétrole à 22 ou 30 milliards de dollars censurée:
EN FRANCE, ON N'A PAS DE
PÉTROLE, MAIS NOS MINISTRES ONT DES IDÉES POUR FAIRE FRUCTIFIER LEURS INTÉRÊTS.
Nous allons prouver une
fois de plus que nous sommes dans un régime fasciste.
Qui a les
moyens de faire censurer un journal comme la Tribune de Genève (4 février
1997)?
Qui est
chargé de la diffusion de ce journal en France ?
Qui a les
moyens de bloquer sa diffusion en France ?
Ce journal
a pourtant été distribué dans les autres pays de la communauté.
Qui a aussi
les moyens de censurer un reportage d'une émission de télé sur TF1 ?
Pourquoi la
population française n'a pas eu le droit de connaître cette affaire ?
Qui sont
les hommes politiques français qui ont des choses à se reprocher ?
Il faut au moins
appartenir au gouvernement pour réussir un tel exploit. Il y a donc des
ministres ou ex-ministres impliqués dans cette affaire, pour qu'une telle censure
puisse se faire, car autrement c'est totalement impossible. Malheureusement
pour eux, même si nos politiques peuvent contrôler les radios, la télé, et la
presse écrite, il est plus difficile de contrôler l'information divulguée sur
Internet.
De quoi s'agit-il ? Tout
commence en réalité avec le fils d'un fabricant de cotonnades de Beyrouth, qui
a émigré dans le sud de la France. Ses ennuis commencent avecc un dépôt de
brevet d'invention, pour éteindre les puits de pétrole du Koweit, qui ont été
incendiés lors de la guerre du golfe par les irakiens en 1991. Mais là aussi,
ils commencent à y avoir des sons de cloche discordants, mais cela est un autre
sujet. Joseph Ferrayé dépose un brevet qui repose sur le principe d'une
cloche destinée à recouvrir le puit en feu. Il rencontre alors un expert
comptable de Nice, Christian Basano avec qui il monte une société, Conira. Ils
se déplacent tous les deux jusqu'au Koweit pour présenter ce procédé.
Cette affaire qui a commené en 1991 se prolonge encore aujourd'hui en
2002 dans les tribunaux, car l'inventeur n'a rien touché pour son invention.
Dans cette affaire, une coalition de notaires et de banquiers jouant les
intermédiaires se sont sucrés an passage sans que l'inventeur ne touche le
moindre centime, alorss que son procédé a permi au Koweît d'éviter
une catastrophe écologique majeure.
Ce
nouveau procédé aurait été utilisé au Koweit en 1991, mais à l'insu de
l'inventeur qui aurait donc été spolié. Il a été utilisé à la fin de la guerre
du golfe, évitant une perte de 150 millions de dollars par jour, soit une perte
totale qui pouvait 250 milliards de dollars. Selon l'inventeur, son procédé a
été vendu frauduleusement à tous les pays producteurs de pétrole dans le monde
entier pour près de 800 milliards de dollars US.
DATE
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ACTION
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07/03/1989
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Le Tribunal de Commerce
d'Epinal converti le Redressement Judiciaire de la société P.B.E OIL
S.A. en Liquidation Judiciaire.
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07/04/1989
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La société P.B.E OIL
S.A. cesse toute activité.
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23/09/1989
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Un FAUX contrat commercial
est daté de cette date sur lequel figure les noms de Christian Basano,
de TILLIE, COLONNA et AL ADASANI en qualité de " Shareholders ".
L'analyse de ce contrat est surprenante : ( ANNEXE N° 23 )
- Contrat signé, lu et approuvé, à Paris, le
25 septembre 1989, par un certain Adel M.K. Kharafi, General Manager de la
P.B.E. OIL SA. Or, en septembre 1989, le Koweït n’était pas encore
envahi…
- Exploitation d’un
procédé d’un « blocking robot for high pressure oil wells », (un des
procédés Ferraye) pour une période de 9 ans, à compter du 30 avril 1990.
- Enregistrement par la chambre du commerce de Koweït
City sous le Certificat N° 15512 / 17701 / F, le 15 novembre 1991. C’est à
dire : une dizaine de jours après l’extinction du dernier puits de
pétrole…
- Légalisation de la signature apposée par M.Majid AL
SAMHAN, M.A.E du Koweït, par l'Ambassade de France au Koweït.
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Petit problème, à cette
date Christian Basano est expert comptable et n'a aucun lien avec
les affaires de pétrole à l'époque. Le contrat est donc un FAUX grossier
d'autant que la société société
P.B.E OIL S.A. a cessé toute activité.
Christian
Basano: " Or, le 30 avril 1990, je n’avais jamais encore entendu parler
ni de Ferraye, que j’ai rencontré pour la première fois le 24 mai 1991, ni «
a fortiori » de ses procédés…"
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xx/xx/1991
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Deux dépôts d'invention sont déposés en 1991
par Joseph Ferrayé auprès de l'Institut National de la Propriété Industrielle
(INPI) à Paris et à Sophia Antipolis. Il fait ensuite une extension à
l'internationale auprès de l'Office Européen des Brevets (OEB) à
Munich et à La Haye, ainsi que l'Organisation Mondiale de la Propriété
Intellectuelle (OMPI) à Genève. Il s'agit de deux nouveaux procédés
destinés à l'extinction des puits de pétrole à pression qui sont en feu.
L'extinction peut se faire en quelques heures au lieu de 6 mois avec les
autres procédés.
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12/02/1991
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Le Vice-Amiral Mike
McConnell, l'un des porte-parole du Pentagone annonce :
"une cinquantaine de puits de pétrole
sont en flamme."
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22/02/1991
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Le commandement américain
annonce que les Irakiens ont mis le feu à plus de 100 puits de pétrole.
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28/02/1991
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Le Koweït est libéré. Tous
les médias du monde annoncent que plus de 750 puits de pétrole sont en feu.
En moins de 6 jours, l'armée irakienne en déroute aurait fait sauter 650
puits ! Aucun journaliste n'a relevé l'énormité. Si la presse semble libre,
elle n'est absolument pas indépendante. Le Monde, en ANNEXE N° 3, parle de
363 puits "actifs" dont le tiers est éruptif; c'est à dire les
seuls susceptibles de brûler longtemps. Ces chiffres ayant été vérifiés dans
l'édition de 1988 de l'International Petroleum Encyclopaedia publiée aux
U.S.A par Pennwell. Et, dans son édition du 17 avril 1991, ( ANNEXE N°
4 ). Le Monde est obligé de mentionner, comme tous ses confrères, un nombre
de 550 puits et d'écrire que les chiffres de l'I.P.E étaient très sous-évalués
!
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xx/03/1991
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L'inventeur
Joseph Ferrayé contacte l'Institut Français du Pétrole (IFP), ainsi
que les ministères de l'Industrie, de la Défense, de l'Environnement et la
Protection Civile. Il tente ensuite de contacter sans succès l'ambassadeur du
Koweït à Paris, Tareg Al Razzooki, et le conseiller Khaled Abou Al Saoud du
prince du Koweït Jaber Al Ahmad Al Sabah.
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14/03/1991
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Date de début de l'opération d'extinction des
puits de pétrole au Koweït supervisée par Larry Flak, ingénieur expert
américain, qui se terminera le 19/11/1991. Des articles publiés en janvier et
mai 1992 montreront les procédés.
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Les responsables politiques
français vont s'approprier l'idée de Joseph Ferrayé. Il avait parlé de ses
inventions à trois intermédiaires, F.HOBEICH, S.REBOUR et V.GEBRANE qui lui
avaient présenté un certain Mustafa AL Adasani, ingénieur koweïtien travaillant
pour la K.O.C ( Kuwait Oil Company ) à Londres, avant de faire la demande de
dépôt de 3 brevets à l'INPI au mois d'avril et mai 1991. Le principe repose
sur un grand éteignoir suspendu au-dessus de la flamme dans lequel on
insuffle de l'azote liquide pour priver le brasier d'oxygène. Chaque puits
éteint est alors "recoiffé" d'une nouvelle tête. Les
responsables français vont négocier avec les responsables koweïtiens le
montant de cette technique. Certains y voient l'opportunité de détourner
d'importantes sommes d'argent avec la bénédiction de l'opinion publique
mondiale. La France qui s'est spécialisée dans le montage d'emprunt
international va proposer le même schéma que celui utilisé dans l'affaire " Joséphine " (Voir "Mitterrand
et les 40 voleurs" de Jean
Montaldo"), 25
milliards de dollars pour soutenir le franc en 1982.
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02/05/1991
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Pour Joseph Ferrayé, un premier groupe,
Jaafar, est constitué avec Serge Rebours, Victor Gébrane, Fouad Hobeich,
Moustapha Al Adasani et x). Il avait été promis à l'inventeur un accord de 5%
de commission sur l'affaire d'extinction des puits de pétrole.
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05/05/1991
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Pourquoi Roland Dumas,
a-t-il fait une mystérieuse escale de trois heures à Koweït-City ? Quels
intérêts défendait-il ce jour-là ?
(article de Alain Dusart et Frédéric Menu )
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06/05/1991
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ELF rachète la société
espagnole ERTOIL aux koweïtiens 300 millions de commissions parties en
fumée...
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09/05/1991
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L'extinction d'un puits aurait été effectué à
cette date, validant le procédé d'extinction et de blocage de l'inventeur
Joseph Ferrayé.
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13/05/1991
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Dans le groupe I on trouverait Dominique Strauss Khan
(DSK) qui était ministre
de l'industrie à l'époque
des faits, selon l'inventeur. Il n'a pu profiter de son invention sur le
système de blocage, en violation des conventions internationales sur la
protection intellectuelle. Un décret
N°91432 signé à cette date par Michel Rocard, déchargeait DSK de l'INPI et de
l'IFP (Institut Français du
Pétrole) qui a des liens très étroits avec ELF. On se demande pourquoi ce
décret était nécessaire, et en quoi cela faisait du tort à l'inventeur. Y
avait-il un conflit d'intérêt qui nécessitait la décharge du ministre de
l'industrie de ces 2 organismes, on peut se poser des questions. Il faut
savoir que les grandes industries et instituts détachent certains de leurs
ingénieurs à l'INPI, pour conseiller ou expertiser les textes des inventions
qui sont proposées en vu de l'obtention d'un dépôts (voir explications chapitre 7 sujet 4). L'IFP
et ELF International seraient selon Josph Ferrayé intervenus pour le compte
du Koweït et Saudi Aramco. Pour Joseph Ferrayé cette affaire se montait à 800
milliards dollars, chiffre astronomique qui paraît fantaisiste et ne repose
sur aucune preuve ou calcul, et serait plus réaliste avec un zéro de moins,
ce qui n'est déjà pas si mal que ça.
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22/05/1991
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Joseph
Ferrayé contacte Guy Turco, doyen de la faculté des sciences à Nice. Ce
dernier lui dit de s'adresser à Christian Basano et Etienne Tillié, qui selon
l'inventeur faisait partie du groupe II.
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03/06/1991
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De cette date jusqu'au 30/12/1998, Christian
Basano et Tillié constitue une chonologie complète des faits.
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04/06/1991
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Christian Basano apprend à la suite d'un
entretien à Paris avec Aurélien Garcia (chargé de mission d'Edith Cresson)
l'opération réalisée par ELF, le Koweït, Koweït Oil Company (KOC), Forasol,
Géoservices, Pipeline Service et autres, sous la couverture de Saudi-Aramco.
Il aurait été proposé à Garcia 500.000 francs français par puits de pétrole éteint avec les procédés concernés.
Suite à cette nouvelle situation, DSK aurait fait une contre proposition du
même montant avec ELF (société contrôlée par
l'état et donc prioritaire) à Edith Cresson.
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05/06/1991
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Edith Cresson qui vient
d'être nommée Premier Ministre, adresse une proposition au Koweit pour
l'extinction des puits de pétrole.
Le 5 juin 1991, Madame Edith Cresson,
Premier Ministre, Maire de Châtellerault écrit à Monsieur Jean-Michel BAROCHE
: "...pour participer à l'extinction et la maîtrise des puits de
pétrole au Koweït, je souhaite vivement que la qualité de cette technologie,
que la société du Ministère de l'Interieur Français, SOFREMI, s'apprête à
prendre sous sa responsabilité, vous permette de mener à bien vos
négociations avec les autorités Koweïtiennes..."
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10/06/1991
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Christian
Basano du groupe II propose à Joseph Ferrayé la création d'une société et
signe les statuts le 5 juillet 1991 de la Compagnie Niçoise de Recherche
Avancée (CONIRA), dans laquelle Joseph Ferrayé, l'inventeur, détiendra 50%
des parts.
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14/06/1991
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C.BASANO envoie par
télécopie un devis de 22 milliards de dollars pour l'extinction des 750 puits
en feu. ( ANNEXE N° 7 )
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16/06/1991
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Le groupe II transmet à Hmoud Al Raqaba
(ministre koweïtien du pétrole), par l'intermédiaire de Issam Al Sager
(directeur d'Al Bank Al Watani), une offre pour éteindre les puits de pétrole
avec les brevets déposés pour 30 millions de US $.
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16/06/1991
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Issam
Al Sager confirme au groupe II que le ministre Koétien a accepté l'offre et
l'arrivée du général Mohamed Al Bader en France pour remettre 17,5 millions
de dollars, soi 50 % des 35 millions pour le premier puits selon l'offre, et
que le Koweït attend leur arrivée.
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17/06/1991
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Garcia du cabinet Cresson, informe à partir de
sa maison de Dijon les membres du groupe II, de la proposition faite par ELF
à Edith Cresson, sur les systèmes proposés au Koweït; ce qui a obligé le
groupe II à la surenchère, sa proposition est doublée à un million de francs
par puits traité à la demande de Cresson, s'assurant ainsi selon Garcia et
Basano d'obtenir à 100 % l'accord concerné, excluant à cette date ELF; prouvé
par les négociations de l'état du Koweït avec ce groupe et l'envoi du général
Al Bader qui a été reçu à Nice le 8 juillet 1991 par Joseph Ferrayé et Garcia
du groupe II.
Christian Basano explique sur son site:
Monsieur
Aurélien Garcia nous reçoit très aimablement chez lui. Il se présente. Il
nous précise que son patron n'est pas moins que le Ministre de l'Intérieur
que le Ministre de la Défense est son ami et qu'il est en étroite
collaboration
avec le cabinet du 1er Ministre. Il nous indique alors qu'un certain Lucien
Gino, basé dans le Var, ancien Chef du cabinet du Ministre de la Défense
maîtrise tous les réseaux, tous les rouages de la politique intérieure et
extérieure. Il
nous parle également du Club des Pollueurs dont le siège est à Berne en
Suisse, et qui est en étroite relation avec le Ministère de
l'Environnement. C'est bien l'homme de la situation, nous rentrons dans la
Cour des "Grands". Ferraye décrit ses inventions. Les
présentations faites, il convient de l’intérêt du système et me dit qu’il
peut nous mettre en relation avec les bureaux d’études d’Elf Atochem, de
Creusot Loire, Legris Industrie et la société PPM, pour étudier avec eux la
faisabilité des pilotes et éventuellement leur mise en œuvre.
Les bases d’une
collaboration sont établies dans un climat de franche confiance. Une
commission d'un million de dollar lui sera réservée pour chaque puits de
pétrole éteint par la méthode Ferraye. Nous verrons plus tard que cette
manière
de se faire
remercier sera reprise par d'autres.
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08/07/1991
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Le groupe II avec Joseph Ferrayé) expose les
inventions au général Al Bader, qui a été reçu officiellement de 10 à 13h 30
au Négresco à Nice, par Garcia, représentant d'Edith Cresson et les
ministères de la Défense de l'Environnement et du Commerce Extérieur
(excluant à cette date DSK).
Suite à cette réunion, Mitterrand serait intervenu
selon l'inventeur pour réconcilier DSK et Cresson en partageant
l'affaire entre les deux groupes de contrevenants, les sociétés et le parti,
sans que Joseph Ferrayé ne puisse toucher un sous sur ses inventions.
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15/07/1991
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L'Emir du Koweït autorise
son Ministre des Finances Cheikh Ali Khalifa Al Sabah à emprunter 30
milliards de dollars pour financer la reconstruction (ANNEXE N° 8 ). Les
banques françaises y souscriront à hauteur de 20 % ( La Tribune de
l'Expansion 28.11.1991) ( ANNEXE N° 9 )
Mais, pour ouvrir des comptes en banque,
" ils " avaient besoin de passeports.
C.BASANO, E.TILLIE et F.COLONNA, associés de
J.FERRAYE vont obtenir des visas pour se rendre au Koweït le 28 juillet 1991.
J.FERRAYE n'a pas obtenu de visa. Le voyage était prévu pour 3 jours. Nous
rentrerons le 13 août ! (ANNEXE N° 10 )
Durant notre séjour, nos passeports ainsi que
ceux des 3 intermédiaires représentés par Monsieur Mustafa Al Adasani (que
J.FERRAYE avait rencontré début mars 1991), vont être utilisés pour ouvrir
des comptes bancaires qui devront recevoir d'importantes sommes d'argent générées
par un vrai-faux contrat antidaté lié à l'extinction des puits.
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26/07/1991
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Paris, le 26 JUIL.1991
Monsieur Dominique STRAUSS KHAN, Ministre Délégué auprès
du Ministre d'Etat chargé de l'Industrie et du Commerce Extérieur, écrit à
Monsieur Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole Emirat du Koweït :
" Monsieur le Ministre,
J'ai été informé de l'intention de la Kuwait
Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit
par HORWELL en vue d'éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers
de votre pays...
Le gouvernement français est très sensible à cette intention….."
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27/07/1991
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Saudi Aramco signe un accord avec les deux
groupes antériorisé au
26/07/1989 l'existence de ce fait les brevets. Les groupes I et II ont signé
au Koweït un accord concernant la vente du système de blocage de Joseph
Ferrayé avec Saudi-Aramco, sans faire apparaître ELF.L'inventeur affirme que
l'accord, est antidaté au 26/07/1989 (par la Chambre de Commerce et de
l'Industrie, l'Office Minéralogique, ainsi que le ministère des Affaires
Etrangères, du Koweït), constituant ainsi une fausse antériorité, impliquant
l'état du Koweït, commandité et DSK, sur la date du dépôt du brevet de Joseph
Ferrayé, qui dispose de toutes les preuves écrites. L'accord incluant Mustafa
Al Adasani (ingénieur à KOC faisant partie du groupe I), Tillié et Colonna
prouve une fusion avec le groupe II; Al Adasani serait le beau-frère du
général Al Bader. Cet accord confirmerait les propos de Naggy Bressot.
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28/07/1991
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C.BASANO, E.TILLIE et
F.COLONNA, associés de J.FERRAYE vont obtenir des visas pour se rendre au
Koweït. J.FERRAYE n'a pas obtenu de visa. Le voyage était prévu pour 3 jours.
Durant notre séjour, nos passeports ainsi que
ceux des 3 intermédiaires représentés par Monsieur Mustafa Al Adasani (que
J.FERRAYE avait rencontré début mars 1991), vont être utilisés pour ouvrir
des comptes bancaires qui devront recevoir d'importantes sommes d'argent
générées par un vrai-faux contrat antidaté lié à l'extinction des puits.
Nous avons également rencontré Jean Bressot,
Ambassadeur de France . Il nous a jetés comme des malpropres. Nous avons
adressé une télécopie à Madame Edith Cresson, 1er Ministre de l'époque. (
ANNEXE N° 10bis )
C.BASANO, E.TILLIE et F.COLONNA ne devaient
pas revenir du Koweït.
Selon Christian Basano, l'attaché
commercial de l'Ambassade de France, Monsieur Claude Martin VASKOU aurait
alors déclaré " on ne
peut pas éliminer des personnes dont les noms seront utilisés ultérieurement
dans un contrat. De toute façon, ils ne le sauront jamais."
Christian Basano apprendra par la suite qu'ils
devaient sauter (accidentellement) sur une mine (irakienne très
certainement SIC) opération qui sera annulée, étant impossible d'éliminer
tous les témoins simultanément. Ils étaient les bous émissaires
parfait et Joseph Ferrayé aurait pensé que les esrocs avaient été
puni par la providence. J.FERRAYE qui est informé, très bien informé,
sait que son système a été utilisé. Il est donc persuadé ou on lui fait croire
que nous l'avons doublé. Il porte plainte pour escroquerie. Deux non-lieux
seront prononcés.
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04/08/1991
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Joseph Ferrayé écrit que Christian Basano a
appris que Jean-Claude Bourdon (à l'époque directeur à l'IFP) avait proposé
ses inventions en même temps que le groupe III au Koweït.
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13/08/1991
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C.BASANO, E.TILLIE et
F.COLONNA, associés de J.FERRAYE repartent du Koweït pour la France.
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14/08/1991
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Le Minitère des Finances du
Koweït signe un contrat avec deux filiales de l'Institut Française du
Pétrole dont les repésentants avaient été en contact avec Joseph
Ferrayé.
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xx/09/1991
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Le gouvernement incite la BNP et Paribas, à
accorder un prêt de 35 milliards de dollars qui sera versé en 1991 au groupe
II, pour que le Koweït puisse payer le coût de l'extinctions des puits en
feu, en utilisant les procédés de Joseph Ferrayé.
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24/09/1991
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Le général Al Bader révèle que le groupe II a
collaboré avec ses frères Youssef et Hamad Al Bader qui ont conclu l'accord
avec le ministre du pétrole Hmoud Al Raqaba.
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xx/10/1991
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Suite à une pression exercée en par GuerryVan
Dijk (avocat international de Joseph Ferrayé) et Al Saleh, Graham et James
(bureau d'avocats établi au Koweït collaborant avec Van Dijk), le 22/10/1991
à 9 heures, Youssef Al Bader (frère du général Al Bader), demande à Joseph
Ferrayé par téléphone d'envoyer de suite par télécopie, une copie de son
passeport et un mandat au nom de Hamad Abdelaziz Al Bader (autre frère du
général Al Bader) pour qu'il puisse de suite envoyer un visa permettant à
Joseph Ferrayé de voyager au Koweït et d'obtenir la reconnaissance de tous
ses droits.
Le même jour à 12 heures, Amal Alayamini Al
Sabah (princesse koweïtienne résidant à Tour Totem à Paris) impose à Joseph
Ferrayé d'aller la voir mettant à sa disposition à l'aéroport de Nice un
billet d'avion aller retour pour Paris et une chambre d'hôtel. A 20 heures,
Joseph Ferrayé a été reçu par Amal et ses avocats, Karl Wahid et Charles
Fares. Amal affirme avoir acheté les billets d'avion pour voyager avec Joseph
Ferrayé au Koweït (le 25 octobre) soumettre l'affaire au prince Jaber Al
Ahmad Al Sabah, qui selon Amal va imposer aux escrocs de restituer tous les
montants escroqués à Joseph Ferrayé à deux conditions : ne pas envoyer le
mandat à Hamad et signer un mandat exclusif d'un an à Amal. Le 22 octobre, ce
mandat est signé.
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06/11/1991
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Extinction du
dernier puits de pétrole au Koweït.
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15/11/1991
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signé, lu et approuvé, à
Paris, le 25/7/1989, par un certain Adel M.K. Kharafi, General Manager de la
P.B.E. OIL SA. Or, en septembre 1989, le Koweït n’était pas encore envahi… Plus intéresssant, cette société n'existe plus depuis sa
cessation d'activité, voir 07/04/89.
Article 1 : " ..the sale and purchase of the
BLOCKING ROBOT FOR HIGH PRESSURE OIL WELLS ", (un
des procédés
Ferraye)
Article 8 :"… pour une période de 9 ans, à compter
du 30 avril 1990…"
Article 6 : Shareholder
" …..Christian BASANO-Nice-PO 67
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Enregistré à cette date par
la chambre du Commerce et de l'Industrie de Koweït City sous le Certificat N°
15512 / 17701 / F, le 15 novembre 1991. C’est à dire une dizaine de jours
après l’extinction du dernier puits de pétrole ! Légalisation de la signature
apposée par M.Majid AL SAMHAN, M.A.E du Koweït, par l'Ambassade de France au
Koweït.
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25/10/1991
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Les jours suivants, Amal, Youssef Al Bader et
Van Dijk ont tous disparu et sont devenus injoignables.
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xx/02/1992
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Un
faux rapport de santé mentale de Joseph Ferrayé est réalisé pour classer ses
plaintes. Joseph Ferrayé dépose une première plainte à Nice, que Michel
Garnier de la brigade financière à Nice transfère à Grasse (où il a plus
d'influence), mais elle a été classée sans suite le 25/04/1992 avec le motif
caché de secret défense. Il y a donc bien une affaire génante pour le
gouvernement de l'époque.
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11/11/1991
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Michel Chevalet explique dans le journal de 20
heures sur TF1 que le système d'extinction était nouveau et qu'il a été
appliqué avec succès au Koweït.
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xx/01/1992
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Des
articles et photos montrent les procédés utilisés pour éteindre les puits de
pétrole au Koweït par Larry Flak, ingénieur expert américain des extinctions
des puits dans le magazine américain spécialisé World Oil et les magazines
allemands Stern, Der Spiegel et autres. D'autres articles seront publiés en
mai 1992.
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05/11/1992
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Une deuxième plainte avec constitution de
partie civile est déposée à Nice par René Blanchot et Olivier Arnaubec,
ex-avocats de Joseph Ferrayé. Elle sera classée par le juge d'instruction
Christine Lorenzini avec le motif refus d'informer.
Une troisième plainte déposée aussi par
Blanchot et Arnaubec a été classée en 1994 par le juge Joël Espel avec un
faux rapport sur la santé mentale de Joseph Ferrayé établi par un psychiatre de
Nice Bertrand Ricono.
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02/05/1993
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Suicide de
Pierre Bérégovoy, Premier Ministre. Bizarrement, il n'y aura pas d'autopsie,
Mme Bérégovoy ne pourra pas prendre l'avion qui rapatrie le corps et ne
pourra même pas le voir.
Elle doutera du suicide comme
d'autres...
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04/05/1993
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Enterrement
du Premier Ministre Pierre Bérégovoy. Le discours du Président François
Mitterrand déclenchera un scandale dans la presse, qui se traduira par une
réponse cinglante au travers du livre de Jean Montaldo, édition Albin Michel:
Lettre ouverte d'un Chien à
François Mitterrand, au nom de la liberté d'aboyer.
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xxx/05/1993
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Edouard Balladur devient
Premier Ministre sous la Présidence de Mitterrand (DC78). Son premier
objectif est de reprendre le contrôle d'ELF et de remplacer Loïk Le Floch
Prigent en le remplaçant par Philippe Jaffré, qui dirige le Crédit Agricole à
l'époque (162). Bien que Alain Gomez soit un homme de gauche, E. Balladur le
reconduit à la tête de Thomson, pendant que François Mitterrand se fera tirer
l'oreille pour signer le décret. (a164)
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30/07/1993
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La KUWAIT OIL Company
(K.O.C.) a dépose auprès de la Commission d’Indemnisation des Nations Unies
une demande d’indemnisation des frais afférents à la maîtrise des éruptions
de puits. Le comité a fixé à US$ 610 048 547 le montant indemnisable.
La K O C est une filiale contrôlée à 100% de
la KUWAIT PETROLEUM Corporation ( K P C ). La K.P.C. a un seul actionnaire :
l’Etat du Koweït.
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07/04/1994
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François de
Grossouvre se suicide au Palais dans des conditions qui en surprendront plus
d'un, comme Jean Montaldo. MV275
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08/06/1994
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Naggy Bressot femme de Jean Bressot,
ambassadeur de France au Koweït confirme certains faits à Joseph Ferrayé:
" Mon
mari n'a rien fait contre vous; suite à une
lutte entre les ministres (Cresson et DSK) c'est Mitterrand qui a rallié les
groupes I et II et partagé, vos droits, entre les sociétés, vos associés et le
parti. Vous devez connaître René et Edouard Chamy et Guy Delbes qui sont
libanais comme vous, ils sont au xx rue de Ponthieu, partez parler avec eux
qui sont les intermédiaires avec les sociétés et le gouvernement ... Nous
avons mis notre téléphone sur liste rouge pour que vous ne puissiez pas nous
appeler; lisez le
livre Mitterrand et les quarante voleurs vous comprendrez tout; il est dans
les librairies".
Son fils
Guillaume la fait taire et dit :
"Ce
n'est pas à nous de dire ce qui s'est passé".
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xx/10/1994
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Joseph Ferrayé contacte Daniel Levavasseur,
détective à Nice, ancien de la DGSE, à la demande d'Yves Bäumelin,
responsable à l'époque des faits dans la société américaine d'investigations
internationales Kroll Associates à Paris. Il obtient ainsi de Kroll une liste
de comptes de plusieurs milliards de dollars US en rapport avec l'utilisation
des brevets de Joseph Ferrayé. Bäumelin a formé Levavasseur à identifier de
son bureau ainsi qu'avec les relations de Patrick Chamarre auprès des banques
suisses, le reste des comptes, près de 800 milliards de US $. Baümelin,
Chamarre et Levavasseur ferait parti du groupe III pour Joseph Ferrayé.
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20/11/1994
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La
plainte a été renvoyée en 1995 par la Cour d'Appel au juge Espel, suite à un
blâme ordonné à cette date par l'Ordre National des Médecins contre Ricono,
qui l'a classée à nouveau avec des procès verbaux comprenant des déclarations
faites par les témoinss du groupe II, enregistré par le juge Espel.
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08/04/1995
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Joseph
Ferrayé signe un premier mandat avec le groupe III qui obtient par la suite
un jugement civil de séquestre au nom de Wildrose Investors GroupInc (société
créée le 24/04/1995 par le groupe III. Ce premier séquestre est suivi par
celui de tous les comptes identifié par la DEA.
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xx/07/1995
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Joseph Ferrayé apprendra par le groupe III,
que les groupes I et II ont été reçus plusieurs fois au Koweït dans la maison
d'Amal.
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xx/07/1995
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Un banquier vient de Suisse prendre Tillié
dans un avion privé pour l'emmener à Genève afin de déposer près de 1.870
milliard de US $ à la disposition du groupe III pour payer les cautions et
séquestrer aussi les comptes collectifs au nom de Wildrose. Les parts du
Koweït et de Saudi-Aramco provenant de la vente de ces systèmes à tous les
pays pétroliers ont ainsi aussi été séquestrées.
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xx/08/1995
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Suite
à ce séquestre inattendu, le Koweït et Saudi-Aramco envoient le prince Ahmad
Al Sabah du groupe III, avec des accords signés par les ministères du pétrole
de ces deux pays, acceptant de céder les mêmes commissions consenties par
Joseph Ferrayé au groupe III pour débloquer à son nom et à son insu tous les
comptes concernant les parts de ce procédé revenant à ces pays, essayant
ainsi de maîtriser cette opération.
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01/10/1995
au
21/10/1995
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Joseph Ferrayé avec sa famille aurait été
séquestré dans une villa gardée nuit et jour par Michel Louart et d'autres
sur ordre du gouvernement français et de l'un des ministres socialistes plus
précisément. Le but était d'empécher Joseph Ferrayé d'avoir des contacts avec
les membres des groupes I et II pour qu'il ignore tout des montants
concernant la vente de ses inventions, effectuée par le gouvernement et ELF,
du temps de (Le Floch Prigent et Sirven), sous la couverture de Saudi-Aramco
et le Koweït. Joseph Ferrayé dénonce 15 actes criminels, séquestration,
assassinats, abus de pouvoirs, associations internationales de malfaiteurs,
etc…
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02/10/1995
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Selon Joseph Ferrayé, pour masquer les
accords précités, Al Sabah signe avec Michel Veneau du groupe III, un premier
accord fictif à Nice, qui sera remplacé par un autre accord aussi fictif
signé le lendemain 03/10/1995 à l'étude de Pierre Mottu, notaire à Genève du
groupe III, toujours par Al Sabah et Veneau. Les vrais accords envoyés par
les ministères précités ont été établis par Geneviève Carron (avocate d'Al
Sabah), Mottu, Marc Bruppacher (avocat à Zurich faisant partie du groupe
III), Eric de la Haye Saint Hilaire (notaire à Paris faisant partie du groupe
III), le Mazou père et fils (avocats à Paris faisant aussi partie du groupe
III), Bruno Bonvin (responsable juridique à l'UBS faisant partie du groupe
III) et d'autres.
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16/11/1995
au
22/01/1996
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L'inventeur Joseph Ferrayé écrit que les
membres des groupes I et II signent des conventions et ordres de virements
irrévocables cédant à Joseph Ferrayé près de 17 milliards de dollars US,
ainsi qu'à son insu des cessions (pour près de 800 milliards de US $), sous
le contrôle de Pierre Mottu et François Comte (notaires à Genève), Georges
Girard (avocat à Cannes), Eric La Haye Saint Hilaire (notaire à Paris), Al
Sabah, Bruppacher, Bonvin, le Mazou père et fils, Levavasseur, Veneau,
Jean-Marie Ghislain (gérant de Wildrose), Chamarre et d'autres faisant tous
partie du groupe III.
Le groupe III aurait fait croire que les
membres des groupes I et II, que Joseph Ferrayé voulaient recevoir des parts
provenant de l'utilisation de ses systèmes au Koweït avec des accords
intitulés Convention (les montants seront déclarés aux impôts) et des accords
intitulés Cession (comprenant les montants provenant des ventes de ses
systèmes à tous les autres pays, hors comptabilité, car il s'agit des comptes
concernant près de 800 milliards de US $, que le gouvernement, DSK, l'état du
Koweït et Saudi-Aramco essayent à nouveau de traiter cette fois avec la
complicité active de la DEA, les banques concernées et le groupe III.
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16/11/1995
23/11/1995
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La reconnaissance des droits de Joseph Ferrayé
par les groupes I et II avec des conventions et cessions de droits seront
signées chez Maître Mottu à Genève.
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16/11/1995
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C.BASANO, E.TILLIE et
F.COLONNA et les 3 intermédiaires, F.HOBEICH, S.REBOUR et V.GEBRANE sont
convoqués à Genève chez M° MOTTU notaire, par M° DE LA HAYE SAINT HILAIRE,
notaire à Paris (qui sera incarcéré le 29 avril 1998 dans le cadre de
l'affaire IBSA, ex-filiale du Crédit Lyonnais ). ( ANNEXE N° 11 )
Les notaires et les avocats ont préparé des
conventions de cessions de droits litigieux ( ANNEXE N° 12 ) et des ordres de
virements (ANNEXE N° 13) pour un montant total de 22.992.550.800 US $ se
décomposant comme suit :
-
C.BASANO………………8.419.987.200 US $
-
E.TILLIE………...………5.250.000.000 US $
-
F.COLONNA….…………3.950.000.000 US $
-
S.REBOUR………………2.463.363.600 US $
-
F.HOBEICH……………..1.492.700.000 US $
-
V.GEBRANE…………….1.416.500.000 US $
Les pressions, les menaces, les convictions
des notaires vont conduire E.TILLIE, F.COLONNA, F.HOBEICH, S.REBOUR et
V.GEBRANE à signer les ordres de virement.
Les notaires et les avocats étaient fébriles.
Ils avaient une mission : obtenir à tout prix et par tous moyens la signature
des ordres de virement. Les organismes de contrôle américain, N.S.A et D.E.A
refusant de transférer les sommes sans l'accord des ayant-droit
économiques réels.
Seul le grain de SABLE, Christian
BASANO qui n'a pas vu les bordereaux d'ouverture des comptes à refuser de les
signer. Sans le savoir il allait réduire à néant leur plan.
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17/11/1995
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Serge Rebours du groupe I révèlera à
l'aéroport de Nice à Joseph Ferrayé et son frère, qu'ils ont tous été
victimes d'un complot perpétré par les états impliqués dans cette affaire
avec la complicité du groupe III.
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23/11/1995
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Après avoir démasqué l'opération, les groupes
I et II (excepté Tillié qui l'a suggéré) se sont ralliés et ont menacé de
scandale les trois états concernés, la DEA, ainsi que le groupe III, essayant
de maîtriser l'opération de toutes les parts leur revenant.
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24/11/1995
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Jusqu'au 21/12/1995, les pays impliqués, la
DEA, les banques concernées et le groupe III, rassemblent tous les comptes
dans une seule banque pour pouvoir les débloquer avec une seule cession de
droits que Joseph Ferrayé sera contraint de signer le 22/12/1995.
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30/11/1995
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Christian BASANO porte
plainte pour usurpation et tentative d'usurpation de son identité. ( ANNEXE
N°14) 30/11/1995 Christian BASANO porte plainte pour
usurpation et tentative d'usurpation de son identité. ( ANNEXE N°14)
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V
xx/xx/1995
V
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Le prédécesseur de Jacques Fluri
(qui était aussi responsable administratif à ELF International), meurt.
Jacques
Fluri, de
nationalité Suisse, meurt à
l'âge de 39 ans au Pérou. son corps
n'a pas été retrouvé et non rapatrié. Le Contrôle de l'Habitant à
Genève le déclare pourtant "décédé à Genève". Une plainte a été
déposée à Nîmes, sans aucune suite.
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05/12/1995
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Christian Basano dépose une
plainte à Nice pour usurpation de son identité.
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21/12/1995
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Le groupe III ferme la porte du notariat de
Mottu à Genève et tente de faire signer des cessions de ses droits mais sans
succès.
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22/12/1995
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Joseph
Ferrayé signale tous les faits précités à Hammer (inspecteur à la brigade
financière à Genève) qui lui conseille de déposer une plainte au parquet
genevois et le prend dans sa voiture chez Maître Assaël qui téléphone à
Maître Mottu, qui conseille fortement à Joseph Ferrayé de signer s'il ne veut
pas que l'opération échoue. La conversation avec haut-parleur a été entendue
par Maître Assaël. C'est à cette période que Jacques Fluri ainsi que son
prédécesseur sont assassinés.
Joseph Ferrayé était aussi en relation avec
Carmélo Zaïti (chef de la police des polices pour la Belgique) par
l'intermédiaire de Jean-Pierre Wilmotte (ami de Zaïti, agent immobilier à
Villeneuve-Loubet). Wilmotte confirme à Joseph Ferrayé que la police
surveille l'étude notariale et tout ce qui s'y passe (ce qui était faux) et
qu'elle va saisir les documents après la signature, incitant ainsi Joseph
Ferrayé à signer la cession de ses droits en toute confiance.
Le complot avec a sa base, des assassinats, la
formation de plus de 43 groupes impliquant 400 personnalités ainsi que des
opérations de blanchiment ont eu lieu en Suisse et à Genève essentiellement.
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22/12/1995
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Après cette date, les états impliqués, la DEA
et le groupe III ont violé toutes les lois et droits et impliqué à nouveau
Patrick Dawson et Bill Campbell (chefs de la DEA à Paris et à Berne), qui ont
débloqué frauduleusement les comptes concernés sans respecter les droits de
Joseph Ferrayé ou même les conventions signées du 16 novembre 1995 au 22
janvier 1996 concernant près de 17 milliards de US $, reliant ainsi à cette
opération les Etats-Unis, l'Europe et le désert d'Arabie.
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xx/01/1996
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Après
la pression exercée en janvier 1996, Christine Sordet (ancienne juge
d'instruction à Genève, avocate de Joseph Ferrayé) l'article initié par
Basano, publié le 4 février 1997 par Christian Campiche dans le Journal de
Genève, révèle une fois de plus et aussi publiquement que Joseph Ferrayé est
bien l'inventeur des deux systèmes concernés.
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29/01/1996
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Alfred Sirven est protégé du 06/02/1996 au
31/12/1997 par la Justice Suisse et la police, suite à la plainte déposée
au parquet de Genève par Joseph Ferrayé, et la déclaration partielle
faite le 6 février 1996 par Mottu à la police cantonale de Genève, ainsi que
le 03/04/1996 à LKA et malgré le fait que Sirven soit recherché par Interpol.
En s'opposant à ce nouveau complot, effectué encore en Suisse, suite au
ralliement du groupe III au gouvernement français, au Koweït et à
Saudi-Aramco, la Commission d'Indemnisation des Nations Unies (INCC) a
reporté les vrais montants payés pour l'extinction sur des réclamations
fictives et établi ainsi des faux documents ne réclamant officiellement à
l'Iraq que 610 millions de US $ pour les extinctions des 1164 puits en feu. Le hic, c'est qu'il n'y a que 363 puits éruptifs
référencés, les
seuls qui peuvent donc brûler en continu en raison de l'arrivée du pétrole
sous pression. Cherchez l'erreur.
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06/02/1996
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P. M., notaire à Genève,
qui a travaillé sur ce dossier est entendu par le procureur Laurent
Kasper-Ansermet, dans le cadre d’une procédure pénale.
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15/02/1996
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Mihel Veneau, membre du groupe III propose à
Joseph Ferrayé de signer des nouveaux accords à Londres avec la garantie de
Ahmad Al Sabah, à condition de retirer sa plainte ce qui permet d'en déduire
que les comptes étaient à nouveau sous séquestre.
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23/02/1996
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Le Royal Trust Bank demande
à voir le client du compte N° 436543. Un rendez-vous est fixé pour le
26/02/1996 à 17H00 à Toronto (ANNEXE N° 16)
C.BASANO va alors rencontrer pendant plus de 4
jours plusieurs responsables de la banque. ( cartes de visite ci-jointes) (
ANNEXE N° 17 )
Bill PIERCE, Investigator Domestic Services
dira : " peu importe le
montant, on ne veut surtout pas se tromper de client "
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29/02/1996
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La banque rédige une
lettre (ANNEXE N° 18). Elle ne précisera pas le numéro de compte. En effet,
ce N° a été référencé par les organismes de contrôle américain à un instant
donné.
Luc MENARD, l'avocat du Canada, sera reçu
pendant plus de 2 jours par le Directeur de la British American Bank
(anciennement First Home Bank) aux îles Caïmans. En relation permanente avec
le Royal Trust, il lui sera interdit de faire un courrier. (ANNEXE N°
19)
Un intermédiaire financier canadien, Calvin
BROEKER, se propose d'intervenir auprès du Royal Trust pour régler le
problème (ANNEXE N° 20). C.BROEKER avise M° L. MENARD que la banque veut
également en finir avec cette affaire dont elle a profité mais qu'elle ne
contrôle plus aujourd'hui.
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xx/03/1996
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La plainte a été aussi reclassée à
Aix-en-Provence avec la complicité cette fois de Marc Bonnant et Georges
Girard (avocats de Joseph Ferrayé à Genève et Cannes) (voir la lettre
concernant cette situation envoyée par Girard à Joseph Ferrayé).
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26/03/1996
28/03/1996
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Michel Veneau membre du groupe III révèle
qu'Eric de la Haye Saint Hilaire (membre aussi du groupe III) a restitué à
Mottu des documents du parquet (LKA).
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03/04/1996
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Le Koweït a payé en 1991, 22.5 milliards de US
$ au groupe I pour l'utilisation du système d'extinction ainsi que 68
milliards de US $ au groupe II pour l'utilisation du système de blocage,
doublant ainsi le montant de 30 millions de US $ par puits, l'offre ayant été
envoyée par le groupe II au ministre du pétrole Hmoud Al Raqaba, à 60
millions de dollars US.
L'inventeur écrit que la moitié serait
retournée dans la famille dirigeante du Koweït (voir aussi les déclarations
faites le 06/02/1996 par Mottu à la Police Cantonale de Genève et le
03/04/1996 à Laurent Kasper Ansermet (LKA) (procureur à Genève), escroquant
ainsi officiellement aussi l'Iraq, sachant que tous les montants sont aussi
prélevés officiellement sur les ventes du pétrole faites par l'Iraq.
M° MOTTU a
déclaré lors de son audition par le Procureur de Genève le 3 avril 1996:
" Lors de mes
entretiens avec M° SAINT-HILAIRE, celui-ci avait fait allusion à une société
pétrolière française ainsi qu'aux références d'un ancien membre du
gouvernement ".(
ANNEXE N° 15 )
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09/05/1996
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Joseph Ferrayé présente un recours à la Cour
de Cassation.
François Badie (procureur à Aix-en-Provence)
convoque Géraud Vitrac et Joseph Ferrayé auxquels il promet de rétablir la
justice à condition que Joseph Ferrayé retire son recours en cassation. Suite
au retrait du recours par Joseph Ferrayé, Badie ne donne aucune suite (le but
était de ne pas impliquer aussi la Cour de Cassation).
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04/02/1997
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Le
Journal de Genève est interdit de diffusion en France à la suite de l'article
de Christian Campiche: "Où sont passés les milliards du Koweït?"
alors qu'on peut se le procurer à Monaco. Pistes suisses, fuites de capitaux
du Golfe, spoliation de l'inventeur, intermédiaires financiers, nom de
ministres socialistes français et étrangers, d'importantes sociétés
françaises, les instructions en cours risquent de déclencher un nouveau
scandale.
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10/02/1997
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Christian Basano expédie un fax à Jean-Louis
Crochet (procureur à Genève, qui remplace le 02/06/1996 LKA, essayant de
blanchir Bertossa, et comportant à sa fin la phrase manuscrite et
signée suivante :
"Je demande la protection de la
justice suisse vu la tournure des événements".
prouvant avec la première partie de sa phrase
et de sa propre main son implication incontestable dans l'escroquerie et avec
la deuxième partie la complicité active de la justice suisse et
principalement Bertossa et Crochet
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xx/xx/1997
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La
publication d'un chapitre dans le livre Enquêtes sur les notaires initié
aussi par Basano révélant que Joseph Ferrayé est l'inventeur des deux
systèmes concernés, ainsi qu'une partie des faits perpétrés par Mottu et son
groupe.
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02/08/1997
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La voiture de C.BASANO
quitte la route.
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xx02/1997
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Outre plainte a été aussi
classée par la justice suisse à Genève sur la base du fameux rapport
psychiatrique, sans tenir compte du blâme.
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04/02/1997
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CENSURE
Christian Basano
porte plainte pour usurpalion de son identité. L'incident qu'il relate dans
son livre, suite à un article publié en février
1997 par le «Journal de Genève et Gazette de
Lausanne», est révélateur. «Je suis impatient de lire l'article. Le jour de
la parution, je file à l'aéroport car je suis sûr d'y trouver tous les
journaux étrangers. J'ai beau parcourir les étalages, pas le moindre exemplaire!
J'interroge la vendeuse. Elle me dit que: « Sur ordre de
la direction, nous avons dû mettre, immédiatement, toute l'édition en invendus. On n'a jamais vu ça.
On ne comprend pas... ».
Question: Est-ce
sur ordre d'un ministre ?
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07/06/1997
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Le Capitaine Paul Barril
dans son rapport d'investigation "Koweït City" conclut:
" Avec ses
originaux, nous vous donnons la possibilité de vous retourner tant au
niveau pénal que civil contre les notaires et les banques qui ont tenté
d'usurper votre identité sur un dossier qui n'existe pas légalement".
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( ANNEXE N° 29 ) Cette
affaire existe donc bien, illégalement.
Et communique dans l'alinéa
5 des renseignements complémentaires :
"Jean Christophe Mitterrand et Madame
Edith Cresson sont gravement compromis. "
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Concernant la mise en
examen de Jean Christophe MITTERRAND, le Capitaine Paul Barril parle
d'une "affaire d'état" en précisant "nous ne sommes qu'au
début des révélations." il précise que "Les affaires qui
arrivent sont terribles"
...
Le Capitaine Paul Barril vient de publier aux
éditions FLAMMARION "L'enquête Explosive",
"Vrai faux enlèvement sur fond de trafic d'arme et casino en Afrique."
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06/08/1997
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MINUTE publie : Les
pétro-bobards du Koweït.
Dans les milieux proches de l'enquête, on
murmure d'ores et déjà les noms de 2 pontes du Parti socialiste ( dont l'un
est déjà connu de la Haute Cour de Justice, Eric Laffite )
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20/10/1997
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contrats de " Trade
" : placement à court et moyen terme d'instruments financiers (MTN)
autorisé et contrôlé par la Federal Reserve Bank et associé à un programme
dit, humanitaire :
- Londres, Boris LOPATIN, Trader international qui a pignon sur rue et qui
travaille avec l'avocat Peter T.JAMES (celui qui a participé à
l'opération "JOSEPHINE") confirme par lettre, le 20 octobre 1997 :
" toutes les vérifications ont été entreprises et que le compte de l'ABN
AMRO a été vérifié ". (ANNEXE N° 26 )
Un contrat de trade sera signé le 28 octobre
1997 (ANNEXE N° 27)
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21/11/1997
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USA, Dan M.DEROUARD,
Directeur d'une société financière américaine écrit, le 21 novembre 1997,
après avoir interrogé Bryan CARROLL, Directeur département de la sécurité
pour la Banque Royale du Canada :
"Nous sommes
prêts à obtenir l'aide de la Federal Reserve et de la Banque Chase Bank de
New York pour forcer le virement des fonds à New York aujourd'hui le 21
novembre de RBC à Chase; il est prévu que les virements se feront par 8
tranches de 500 millions toutes les dix minutes avec la dernière tranche de
100 millions".
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( ANNEXE N° 28 )
Un contrat de trade a été signé le 19/11/1997
( ANNEXE N° 28bis )
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V
23/12/1997
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Paul COLNE,
Président de la société P.B.E OIL SA, est retrouvé mort dans sa cellule de la
prison de Nice. Meurtre ou Suicide ?
A-t-il signé le VRAI-FAUX contrat
enregistré le 15 novembre 1991 à la Chambre du Commerce et de l'Industrie de
Koweït City sous le Certificat N° 15512 / 17701 ? Car, il est surprenant de
constater que le Tribunal de Commerce d'Epinal avait converti le Redressement
Judiciaire en Liquidation Judiciaire le 7 mars 1989 ! et que la société P.B.E
OIL SA avait cessé toute activité le 7 avril 1989.
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xx/01/1999
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Marcel GAY écrit un livre :
Enquête sur les Notaires, Chapitre IX : Pour
quelques milliards de dollars.
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xx/10/1999
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Maître Mottu, notaire à Genève, avoue à un
consultant de Maître Barillon que les comptes de cette opération ont été
transmis par Senn dès février 1999 au procureur Bertossa du parquet de
Genève. Ils prouveraint la corruption de tous les avocats de Joseph Ferrayé.
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11/05/2000
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I-Télévision a déprogrammé
le reportage enregistré.
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12/05/2000
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Le 12 mai 2000, le
reportage traitant de l'extinction des puits de pétrole en feu a été supprimé
sur appel téléphonique de Maître Jean VEIL, l'avocat de Monsieur Dominique
Strauss Khan, à Monsieur Etienne MOUGEOTTE, Vice Président de TF1, 24 heures
avant sa diffusion dans l'émission "Sans Aucun Doute" présentée par
Julien Courbet.
Une partie de l'émission Sans Aucun
Doute" de Julien Courbet sur TF1 avec Maître Collard a été censurée ce
vendredi, SUR ORDRE supérieur alors que rien n'indiquait dans ce reportage
que DSK, Dominique Strauss Kahn y était mêlé. Il était ministre des finances
à l'époque, et sa femme Anne Sinclair faisait toujours partie de TF1. Julien Courbet en a déduit que d'autres en savaient
plus long que lui sur ce dossier.
>:>
|
Cliquez ici
pour accéder au reportage vidéo censuré par TF1. La visualisation de ce
reportage nécessite le logiciel Real Player. Le chargement nécessite de 7 à
10 minutes. Il est donc conseillé de disposer d'une liaison haut débit,
comme l'ADSL.
|
L'inventeur estime qu'on
lui a volé son idée et se bat depuis 10 ans pour que la justice soit faite et
se ruine en procédures judiciaires.
M° Gilbert Collard, l'avocat de Joseph
Ferrayé,parle de " la
plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal; on
ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts
à tout sous prétexte qu'un Etat a des intérêts qui sont reliés par d'autres
Etats ".
France 2, ne diffuse pas le
reportage réalisé par Olivier Carow et son équipe le 12 mai 2000 à 20 heures
au restaurant "Les Palmiers à Nice".
Les Directeurs de la Presse
nationale ont reçu des ordres précis pour ne pas publier cette affaire.
Maïtre Jacques Vergès
abandonne la défense de C.BASANO qui a porté plainte contre les notaires, les
avocats et les banquiers. Il lui écrit :
"J'estime mon travail accompli en ce
domaine à 25.000 FF et vous adresse donc un chèque de 25.000 FF représentant
la différence avec le chèque de 50 000 FF que vous m'avez remis…"
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12 mai 2000
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Pourtant, dans son audition
par les policiers, le notaire Pierre Mottu ajoutait : " Je pense que le brevet de Ferrayé
doit exister. Il a été abusivement utilisé au Koweït, des indemnités ont été
versées par l'Etat du Koweït aux utilisateurs, Ferrayé n'a pas reçu le
moindre dédommagement "
(Alain Dusart et Frédéric Menu, l'Est
Républicain)
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13 mai 2000
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L'Est Républicain publie :
Les mystères de l'or noir ( II ) : Justice,
Barbouzes et Escrocs
Dans l'affaire des puits de pétrole du Koweït,
un ex-agent secret confirme :
" Des
milliards de dollars ont circulé ".
Mais qui avait intérêt à les faire miroiter à
Joseph Ferryé ?
Daniel Levavasseur, l'ex-agent de la DST
confirme :
" Il
y avait effectivement un dossier et un système de manipulation
financière dont ont profité des princes koweïtiens et d'autres…Par un savant
mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de
dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après guerre".
(Alain Dusart et Frédéric Menu, l'Est
Républicain)
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xx05/2000
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Christian
Basano publie son livre, "Jeu de banques", sur l'affaire
de l'extinction des puits de pétrole du Koweït, un devis de 22 milliards de
dollars. Il apprend par 2 notaires que 22 milliards
de dollars ont été retrouvés et qu'il est l'ayant
droit économique réel de plusieurs comptes pour un montant de 8 milliards de
dollars.
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19/06/2000
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L'Est Républicain publie :
Un témoin encombrant: Joseph Ferrayé, l'inventeur d'une technique
d'extinction des puits de pétrole koweïtiens, est cité aujourd'hui comme
témoin dans l'affaire ELF.
Baroche (un proche d'Edith
Cresson ) et son équipe sont partis au Koweït sous la "responsabilité
" de la SOFREMI.
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04/07/2000
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LE FIGARO titre en première
page:" La DST contre l'espionnage américain "
La National Security Agency ( NSA ) va-t-elle
dévoiler le noms des bénéficiaires des 22 milliards détournés ?
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20/07/2000
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VSD publie : Ainsi sont-ils
Christine DEVIERS-JONCOUR. D'énormes scandales vont éclater dont l'affaire
" Joseph Ferrayé ", on y retrouve certains protagonistes de
l'affaire ELF. ( Florence Belkacem )
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13/09/2000
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Monsieur Lionel
JOSPIN a reçu à Matignon le Ministre du Pétrole du Koweït.
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27/09/2000
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" Le KOWEIT par
l’intermédiaire de la KPC, réclame 16 milliards de dollars à la Commission
d’indemnisation des Nations Unies ". (Quotidien suisse)
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29/09/2000
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« En échange d’une compensation record de 16 milliards de
dollars à une compagnie pétrolière koweïtienne, le Conseil de sécurité de
l’ONU a accepté, sur proposition de la France de réduire d’autant la dette de
l’Irak. » Il est intéressant de remarquer que les 16 milliards de
dollars correspondent à peu près aux ordres de virements signés chez maître
MOTTU par les 5 autres protagonistes de l’affaire FERRAYE. (Le Monde)
TILLIE, Banca dei Gottardo
Luxembourg
5.263.000.000 US $
COLONA, UBS,VOLKSBANK, Bank
AMERICA
3.950.000.000 US $
REBOUR, BNP, BANKGESELLSCHAFT,
UBS
2.463.363.600 US $
HOBEICH, LLOYDS, KREDDIETBANK, UBS, CITIBANK 1.492.700.000
US $
GEBRANE, ABN AMRO, SBS, DANER
HENTSEH
1.416.500.000 US $
_________________
TOTAL
14.585.563.600 US $
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06/03/2001
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Le
Tribunal de Grande Instance de Paris ordonne le
dépôt par l'État du Koweït de l'ensemble des contrats et de toutes les
conventions qui ont un rapport avec l'extinction des puits de pétrole, le seul scandale donc
la presse française ne parle pas. Est-ce parce que des ministres de la gauche
sont encore impliqués ?
De son côté,
devant l'évocation de fuite de capitaux, la DEA, l'autorité américaine
chargée de lutter contre l'argent sale, a fait bloquer des comptes en Suisse.
L'enquête embarrasse le Parquet genevois qui peine à obtenir la collaboration
des autorités du Koweït, mais les brevets de Joseph Ferrayé sont bien
consignés dans les coffres de l'Office de la protection intellectuelle. Son
invention qui utilise un gaz inerte introduit dans la partie inférieure du
puits, n'a jamais été remise en cause, même par l'État du Koweït.
Monsieur
Jean Jacques Gomez, Premier Vice Président au Tribunal de Grande Instance de
Paris rend une Ordonnance de Référé :
" …PAR CES
MOTIFS,…..invitons, en tant que de besoin ordonnons le dépôt au Greffe du
Tribunal de céans par l'Etat du KOWEÏT de l'ensemble des contrats et toutes
autres conventions ayant trait à l'extinction des puits de pétrole sur le
territoire du KOWEÏT après la guerre du Golfe en 1991…."
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30/05/2001
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Pour
affaiblir l'inventeur, on a fabriqué de toutes pièces des dossiers le faisant
passer pour un cinglé. Il a été obligé de se cacher, on a exercé sur lui une
pression psychologique clairement destinée à le faire craquer.
De fait dans un
premier temps, Ferrayé a perdu toutes les actions judiciaires qu'il
entreprenait. Flairant une commercialisation en sourdine de son invention, il
a porté plainte à Genève (par où aurait transité une partie des milliards du
Koweït) et en France (où il a créé une société, la CONIRA, chargée de
commercialiser sa trouvaille) contre inconnu des chefs d'escroquerie et
tentative d'escroquerie.
Parallèlement,
il a assigné en justice Edith Cresson et Dominique Strauss-Kahn, à l'époque
(en 1991) premier ministre et
ministre de l'Industrie, leur reprochant d'avoir vendu son invention au
Koweït, à son insu, par l'intermédiaire d'une société de Chatellerault, ville dont Mme Cresson était
maire, et d'une société de Nanterre. Il leur demandait de
fournir les contrats signés à l'occasion de ce marché. Mais le tribunal a rejeté la
demande le 30/05/2001, jugeant que l'existence des contrats demandés n'était
pas certaine, ni même vraisemblable.
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08/06/2001
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Monsieur
Jean Jacques Gomez, Premier Vice Président au Tribunal de Grande Instance de
Paris, assortit son ordonnance de référé du 06 mars contre l'état du Koweit
d'une astreinte de 10.000 francs par jour de retard à compter du 91ème jour
qui suivra la notification de la présente Ordonnance, jusqu'à parfaite
exécution de la décision précitée, si les pièces demandées ne sont pas
communiquées avant le 09/09/2001.
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23/06/2001
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Joseph
Ferrayé et ses avocats obtiennent une saisie conservatoire des documents chez
ELF.
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V
24/07/2001
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Le 24 juillet 2001, (Le Matin, Journal suisse) publie : Sa voiture
explose : meurtre ou suicide ? ….
André
Sanchez, homme d'affaires français basé à Lausanne, meurt dans l'explosion de
sa voiture à Essertines-sur-Rolle. Son nom figurait sur une convention avec celui
de José Ferrayé, qui devait permettre le transit de l'argent du golfe par la
société de Sanchez.
"
Le Directeur d'une société de Lausanne est décédé il y a deux mois dans des
circonstances troublantes. L'homme craignait pour sa vie. Mais, André SANCHEZ
avait enregistré une cassette avant sa mort….Il était en relation avec Monsieur
Michel VENEAU, le Détective privé qui l'a amené chez Maître MOTTU, notaire à
Genève pour signer les conventions au nom de la société :
HOLDING FINANCIERE DE GESTION ET DE PARTICIPATION BCS
FINANCE SA concernant les fonds retrouvés (34 milliards d'US $ ) en paiement de
l'utilisation des brevets de Joseph Ferrayé. |
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02/08/2001
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Nice Matin rappelle que
c'est 1164 Puits de pétrole en feu qui ont été éteint.
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23/08/2001
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Source:
La Liberté 23/08/2001:
"Parallèlement, Joseph Ferrayé a assigné en justice Edith Cresson et
Dominique Strauss-Kahn, à l'époque (en 1991) premier ministre et ministre de
l'Industrie, leur reprochant d'avoir vendu son invention au Koweït, à son
insu, par l'intermédiaire d'une société de Chatellerault, ville dont Mme
Cresson était maire, et d'une société de Nanterre. Il leur demandait de
fournir les contrats signés à l'occasion de ce marché. Mais le tribunal a
rejeté la demande le 30 mai dernier, jugeant que l'existence des contrats
demandés n'était pas certaine ni même vraisemblable."
L'émirat
répond en assignant Joseph Ferrayé à comparaître le 13/09/2001, au titre que «L'État du Koweït entend soulever
l'immunité de juridiction... Il ne peut être opposé un quelconque moyen à
l'encontre de l'État du Koweït, Etat souverain...»
" L'Etat du Koweït,
représenté par son Ambassade en France agissant pour son Excellence Monsieur
l'Ambassadeur AHMAD AL EBRAHIM, ayant pour avocat Maître Serge KIERSZENBAUM,
a assigné Monsieur Joseph FERRAYE à l'audience et par devant Monsieur le
Président du Tribunal de Grande Instance de Paris, tenant l'Audience des
Référés au Palais de Justice au Cabinet de Monsieur Gomez, Premier
Vice-Président audit Tribunal. L'Etat du Koweït plaide l'immunité
juridictionnelle de par sa personnalité internationale concernant les actes
en l'espèces (concernant l'extinction des puits de pétrole en feu suite à la
guerre du Golfe ), qui ont été accomplis par l'Etat souverain du Koweït dans
l'exercice de sa fonction comme assurant un service public. L'Etat du Koweït
reconnaît implicitement avoir utilisé la méthode de J.Ferrayé."
D'ailleurs, dans le livre publié par L'Etat du Koweït:
"
ENVIRONMENT PROTECTION COUNCIL " précise :
FIG.
( 22-G ) : THE FIRE HAS BEEN SUCCESSFULY EXTINGUISHED AND THE WELL HEAD IS
PREPARED FOR CAPPING
FIG.
( 22-H ) : THE WELL HAS BEEN SUCCESSFULLY CAPPED
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28/09/2001
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Monsieur Jean Jacques
Gomez, Premier Vice Président au Tribunal de Grande Instance de Paris rend
une Ordonnance de Référé :
" Le Koweït est débouté de sa demande d'immunité,
l'astreinte journalière est maintenue à 10.000 francs."
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07/10/2001
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Monsieur Jacques CHIRAC
délare: "..La lutte contre le terrorisme doit aussi s'engager dans le
domaine des finances…"
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20/12/2001
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L'Etat du Koweït a
interjeté appel des ordonnances rendues les 6 mars et 8 juin 2001. Délibéré
fixé au 1er février 2002…..
Il apprend que : La KUWAIT OIL Company
(K.O.C.) a déposé le 30 juillet 1993 auprès de la Commission d’Indemnisation
des Nations Unies une demande d’indemnisation des frais afférents à la
maîtrise des éruptions de puits. Le comité a fixé à US$ 610 048 547 le
montant indemnisable.
La K O C est une filiale contrôlée à 100% de
la KUWAIT PETROLEUM Corporation ( K P C ). La K.P.C. a un seul actionnaire :
l’Etat du Koweït.
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xx/01/2002
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Le mensuel français
Entrevue a pu se procurer l’émission censurée et publie des extraits. Joseph
Ferrayé raconte qu’il a contacté un bureau d’investigation international
(Kroll Associates) pour cette affaire, et que celui-ci a identifié toute une
série de comptes dans le monde. Le Koweït a donc bien payé.
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10/01/2002
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La page de Christian
Bassano, http://www.basanews.com/index-x1.htm,
mentionne une information
des RG spécifiant qu'il y a eu un détournement d'un milliard de dollars, et
que le chèque qui venait du Quatar, a été déposé dans une banque de Zurich
au nom de François Mitterrand, en présence d'un conseiller
fédéral.La page de Christian Bassano, http://www.basanews.com/index-x1.htm,
mentionne une information
des RG spécifiant qu'il y a eu un détournement d'un milliard de dollars, et
que le chèque qui venait du Quatar, a été déposé dans une banque de Zurich
au nom de François Mitterrand, en présence d'un conseiller
fédéral.
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30/05/2002
au
02/06/2002
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Réunion du Groupe
Bilderberg, dans laquelle on retrouve les plus importantes personnalités de
la planète. On y trouve les repésentants de quelques institutions
citées sur cette page, mais aussi quelques ministres soialistes qui
n'aiment d'ailleurs pas être cités, ce groupe étant pour la mondialisation,
et quelques une de ses personnalité étant pourssuivi par la justice.
SILENCE TOTALE et complice de la presse sur ce groupe comme d'habitude.
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LE BLANCHIMENT DES COMPTES DE 1991 A 1995.
Les
comptes ont été ouverts aux noms de plusieurs sociétés écrans. Les paiements
peuvent en argent liquide, ou en liquide brut, livré à coup de tanker à ELF.
Les bénéfices des ventes partent ensuite sur des comptes collectifs, qui sont
virés ensuite sur les comptes de tous leurs titulaires. Alfred Sirven était
directeur financier d'ELF durant la période de 1991 à 1996.
Pour
Joseph Ferrayé, Saudi-Aramco était l'intermédiaire qui a vendu ses
procédés, et qui livre régulièrement du pétrole, recouvrant les parts d'ELF.
Ces comptes collectifs se sont retrouvés sous séquestre en 1995 par la DEA. Le
Koweït et Saudi-Aramco ont essayé de les débloquer à l'insu de Joseph Ferrayé.
Suite au déblocage réussi des comptes par Patrick Dawson et Bill Campbell
(chefs de la DEA à Paris et Berne), le groupe III et la justice suisse font
établir selon Joseph Ferrayé du 24/12/1995 à xx/02/1996 par toutes les
banques impliquées, Crédit Suisse, Union de Banque Suisse, Société de Banque
Suisse et autres, de fausses déclarations niant l'existence des comptes. Ils
ont aussi falsifié les numéros des comptes sur d es ordres de virement
irrévocables signés par les titulaires concernés pour que les banques puissent
établir les fausses déclarations sur cette base. Pour justifier ce déblocage,
Dawson et Campbell avouent à Joseph Ferrayé avoir été contraints d'agir ainsi
parce qu'en Europe ils sont dans des pays d'accueil. La DEA et Federal Reserve
ont fait le blackout sur tous les comptes de Basano qui essaye de s'allier avec
Joseph Ferrayé et menace parallèlement les trois états impliqués de scandale.
Ces deux organismes américains essayent ainsi de blanchir et maîtriser
l'opération de l'ensemble des comptes concernés (les documents prouvant aussi
ce blackout sont à la disposition de la justice). C'est près de 800 milliards
de US$ qui auraient été blanchis. Joseph Ferrayé cite les noms de
nombreuses personnalités politiques de très haut niveau. On comprend
mieux pourquoi Alfred Sirven affirmait pouvoir faire sauter 20 fois la République.
Aujourd'hui
la DEA, l'Office Fédéral de Berne, la Federal Reserve, l'état du Koweït, KOC,
l'Arabie Saoudite, Saudi-Aramco, le gouvernement Français, l'UBS, la SBS, le
CS, ELF et beauoup d'autres banques impliquées sont obligés de retrouver tous
les comptes concernés. Pour Joseph
Ferrayé, la façon dont a été traitée cette affaire aurait privé la France d'un
impôt sur près de 800 milliards de US $. Il fait beaucoup plus confiance pour rétablir la justice à l'Office
Fédéral à Berne, à l'Allemagne et aux Etats-Unis (excluant Bertossa, Campbell,
Dawson et d'autres).
Joseph
Ferrayé, dispose de 700 conversations enregistrées, relatant les faits
mentionnés sur cette page.
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